Lorsque l’on reste immobilisé, même quelques semaines, les muscles perdent en puissance, l’équilibre devient moins sûr et l’essoufflement arrive plus vite. C’est normal, et réversible en grande partie grâce au mouvement.
Première étape : demander l’avis de son médecin. Chaque situation est différente : reprendre après une prothèse de genou, une opération du cœur, une pneumonie ou un traitement anticancéreux ne répond pas aux mêmes besoins. Le médecin ou le kinésithérapeute pourra proposer des exercices adaptés et des conseils pour éviter les faux pas.
Commencer en douceur est la règle d’or. Marcher un peu chaque jour, utiliser un vélo d’appartement, faire de légers exercices de gym ou des séances d’aquagym sont de bonnes options. L’objectif n’est pas de se dépasser, mais de bouger régulièrement.
Bouger, ce n’est pas que pratiquer un sport. Monter les escaliers, jardiner, danser, promener son chien, jouer avec ses petits-enfants : toutes ces activités comptent. Elles entretiennent l'endurance, la souplesse, la coordination et le moral.
Écouter son corps est essentiel. Une fatigue normale après l’effort est possible. En revanche, il ne faut pas ignorer certains signaux comme une douleur inhabituelle, une gêne thoracique, des vertiges, une chute ou un essoufflement important. Dans ces cas, vous devez arrêter l’activité et il vous est conseillé d’en parler à un professionnel de santé.
Ne cherchez pas à retrouver votre niveau antérieur immédiatement. Fixez-vous de petits objectifs réalistes : marcher cinq minutes de plus chaque semaine, faire quelques répétitions supplémentaires ou tenir un peu plus longtemps en équilibre. Chaque progrès compte.
La reprise d’activité, c’est aussi l’occasion de recréer du lien social. Marcher dans son quartier, suivre une séance de gym douce au sein de son club peut redonner de la motivation et du plaisir. La pratique du sport en groupe rassure, encourage et contribue au bien-être.
Le mouvement, à tout âge, reste un allié précieux pour mieux dormir, améliorer l’humeur, renforcer les os, prévenir les chutes et garder son indépendance.
Après une maladie ou une opération, la patience et la régularité sont vos meilleures alliées pour une reprise d’activité. Un pas à la fois, sans précipitation, mais sans renoncer.
La Commission santé-médicale
Attention, après une infection avec fièvre, la reprise d’activité ne doit se faire qu’après un délai de huit jours.
Commencer en douceur est la règle d’or. Marcher un peu chaque jour, utiliser un vélo d’appartement, faire de légers exercices de gym ou des séances d’aquagym sont de bonnes options. L’objectif n’est pas de se dépasser, mais de bouger régulièrement.
Un bon repère : vous devez pouvoir parler pendant l’effort sans être trop essoufflé.
Bouger, ce n’est pas que pratiquer un sport. Monter les escaliers, jardiner, danser, promener son chien, jouer avec ses petits-enfants : toutes ces activités comptent. Elles entretiennent l'endurance, la souplesse, la coordination et le moral.
Écouter son corps est essentiel. Une fatigue normale après l’effort est possible. En revanche, il ne faut pas ignorer certains signaux comme une douleur inhabituelle, une gêne thoracique, des vertiges, une chute ou un essoufflement important. Dans ces cas, vous devez arrêter l’activité et il vous est conseillé d’en parler à un professionnel de santé.
Ne cherchez pas à retrouver votre niveau antérieur immédiatement. Fixez-vous de petits objectifs réalistes : marcher cinq minutes de plus chaque semaine, faire quelques répétitions supplémentaires ou tenir un peu plus longtemps en équilibre. Chaque progrès compte.
La reprise d’activité, c’est aussi l’occasion de recréer du lien social. Marcher dans son quartier, suivre une séance de gym douce au sein de son club peut redonner de la motivation et du plaisir. La pratique du sport en groupe rassure, encourage et contribue au bien-être.
Le mouvement, à tout âge, reste un allié précieux pour mieux dormir, améliorer l’humeur, renforcer les os, prévenir les chutes et garder son indépendance.
Après une maladie ou une opération, la patience et la régularité sont vos meilleures alliées pour une reprise d’activité. Un pas à la fois, sans précipitation, mais sans renoncer.
La Commission santé-médicale
Image par dae jeung kim de Pixabay