CAS N° 1
Personne non vaccinée ou avec un schéma incomplet (pas de dose de rappel cinq mois après la seconde dose) ou immunodéprimée ou ayant fréquenté une personne susceptible d’être contaminée par le variant Omicron :
Personne non vaccinée ou avec un schéma incomplet (pas de dose de rappel cinq mois après la seconde dose) ou immunodéprimée ou ayant fréquenté une personne susceptible d’être contaminée par le variant Omicron :
• Isolement pendant sept jours à compter de la date supposée du contact lors de l’appel qui vous en a informé.
• Faire immédiatement un premier test, au mieux un test RT-PCR (sinon test antigénique si aucun symptôme n’existe).
• Surveiller son état de santé et en cas d’apparition de symptômes : test RT-PCR.
• Un deuxième test est à réaliser sept jours après le contact, que le premier test soit positif ou négatif.
• Si le premier test était positif :
o S’il s’agissait d’un RT-PCR : le cas contact devient un cas positif qui doit être déclaré avec suivi médical et poursuite de l’isolement.
o S’il s’agissait d’un test antigénique, il faut impérativement refaire un test RT-PCR et attendre le résultat.
CAS N° 2
Personne vaccinée, avec un schéma complet (trois injections) et non immunodéprimée et n’ayant pas fréquenté une personne susceptible d’être contaminée par le variant Omicron :
Personne vaccinée, avec un schéma complet (trois injections) et non immunodéprimée et n’ayant pas fréquenté une personne susceptible d’être contaminée par le variant Omicron :
• L’isolement n’est pas obligatoire, mais il est raisonnable de renforcer les mesures barrières en espace public.
• Faire immédiatement un premier test, au mieux un test RT-PCR (sinon test antigénique si aucun symptôme n’existe).
• Surveiller son état de santé et en cas d’apparition de symptômes : test RT-PCR.
• Un deuxième test est à réaliser sept jours après le contact, que le premier test soit positif ou négatif.
• Si le premier test était positif :
• S’il s’agissait d’un RT-PCR : le cas contact devient un cas positif qui doit être déclaré avec suivi médical et poursuite de l’isolement.
• S’il s’agissait d’un test antigénique, il faut impérativement le confirmer par un test RT-PCR et attendre le résultat.
CAS PARTICULIERS
Si cohabitation avec une personne malade et/ou testée positive et relevant du cas n° 1 :
• Isolement immédiat et jusqu’à sept jours après la guérison du malade, soit dix-sept jours à compter de l’apparition des symptômes et/ou du test positif du patient.
• Faire immédiatement un premier test, au mieux un test RT-PCR (sinon test antigénique si aucun symptôme n’existe).
• Mesures barrières renforcées et isolement, autant que faire se peut, à domicile.
• Surveiller son état de santé et en cas d’apparition de symptômes : test RT-PCR.
• Second test sept jours après le contact ou dix-sept jours après celui-ci en cas d’impossibilité d’isolement du malade (poursuite de la vie dans les mêmes locaux).
Si cohabitation avec une personne malade et/ou testée positive et relevant du cas n° 2 :
• Isolement non obligatoire mais mesures barrières renforcées.
• Faire immédiatement un premier test, au mieux un test RT-PCR (sinon test antigénique si aucun symptôme n’existe).
• Surveiller son état de santé et si apparition de symptômes : test RT-PCR.
• Second test sept jours après le contact ou dix-sept jours après celui-ci en cas d’impossibilité d’isolement du malade (poursuite de la vie dans les mêmes locaux).
EN RÉSUMÉ
Dr Jean Bultel,
Médecin fédéral
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Image par Gordon Johnson de Pixabay