DU NOUVEAU À LA DTN


La Direction technique nationale se renouvelle : Matthieu Capron a, à sa demande, quitté la Fédération en juillet dernier. Il vient d’être remplacé par Simon Pouts et, le 1er septembre, Nadia Mimoun, conseillère technique nationale mise à disposition par le ministère des Sports, est venue grossir les rangs de l’équipe.


Nadia Mimoun est la nouvelle référente territoriale pour la région Île-de-France. Son rôle principal est d’accompagner les bénévoles dans leurs projets de développement des pratiques sportives des seniors et de formation.
Elle développera également quelques sujets ministériels de politiques sportives comme, par exemple, la prévention contre toutes formes de violences et de discriminations dans le sport. 


« Bonjour à toutes et tous,

Je souhaite, avant de me présenter, vous dire combien et pourquoi je suis ravie de rejoindre la Fédération française de la retraite sportive. J’ai été nommée au 1er septembre comme conseillère technique nationale. Je suis cadre d’État et mon poste au sein de la Fédération est, par conséquent, un poste financé par l’État.

J’ai déjà eu le plaisir et la chance de faire connaissance avec l’équipe technique nationale de la Fédération, mais aussi d’être vite plongée dans le bain des travaux menés par le Corers d’Île-de-France, à travers une réunion de la Commission médicale notamment. Territoire que Sylvie Kinet, directrice technique nationale, m’a demandé d’accompagner.

Pour tout vous dire sur mon parcours et la logique qui m’amène à œuvrer pour la Fédération : j’ai passé trois années à la Direction départementale à la Cohésion sociale du Val-de-Marne pour travailler sur différents sujets tels que l’accompagnement de plusieurs fédérations sportives (comités départementaux) et, pour l’anecdote, la FFRS en faisait partie. Les travaux que j’ai menés sur ce territoire, sur le sport-santé notamment, m’ont amenée à rejoindre le ministère chargé des Sports sur ce sujet afin de participer à l’élaboration de la stratégie nationale du sport santé, puis celui de l’honorabilité des bénévoles dans un second temps, pendant cinq ans. Mais avant cela… J’ai été gymnaste de haut-niveau, membre de l’équipe de France, j’ai participé aux Jeux Olympiques d’Atlanta en 1996. J’ai été entraîneur national de gymnastique rythmique.

Je pense là que vous savez l’essentiel !
Au plaisir de vous rencontrer dans la mise en œuvre de vos projets. » 
Nadia Mimoun
 

Sur le territoire de Nouvelle-Aquitaine et d'Occitanie, Simon Pouts remplace, depuis la mi-septembre, Matthieu Capron au sein de l'équipe de la direction technique nationale. Il sera le nouveau référent territorial sur ces deux régions.

« Bonjour à tous,

Je suis Simon Pouts, l’un des deux nouveaux conseillers techniques. Je suis arrivé à la FFRS le 12 septembre dernier. J’ai 28 ans, je suis originaire de Bordeaux où je réside toujours. J’ai suivi un cursus universitaire en STAPS (plus communément appelé « fac de sport ») qui m’a permis d’obtenir une licence entraînement sportif avec une spécialité dans les activités aquatiques, ainsi qu’un master en gouvernance du Sport et Développement territorial.

J’ai commencé ma carrière en tant que chargé de mission sport santé à la Fédération française des clubs omnisports (FFCO) à Paris, avant de revenir en terre connue en tant que chargé de mission au Comité régional olympique et sportif de Nouvelle-Aquitaine sur les sujets du handicap et des sports de nature. Ayant beaucoup apprécié ma mission à la FFCO, j’ai souhaité revenir vers un poste qui me rapproche de la pratique et du pratiquant afin de pouvoir dédier mon travail au développement d’activités qui ont un réel impact sur les personnes.

Je serai le référent territorial des structures des régions Nouvelle-Aquitaine et Occitanie, en remplacement de Matthieu Capron. Je vais également m’investir dans différentes missions, parmi lesquelles le développement durable.
Au plaisir de pouvoir échanger avec vous et de pouvoir vous rencontrer sur le territoire. »
Simon Pouts

Les président(e)s des Comités régionaux, départementaux et des clubs qui se situent sur les zones géographiques d’intervention des nouveaux conseillers peuvent dès à présent leur faire suivre tous types de demandes, notamment, pour celles et ceux qui en ont bénéficié, les bilans des aides fédérales au développement.