Sur les deux-cents clubs qui se sont exprimés, seul un quart des clubs observent une stagnation, voire une légère hausse de leurs effectifs, tandis que les trois-quarts des clubs constatent une diminution de leurs licenciés. Pour l’instant, cette baisse globale n’affecte financièrement que 14 % des structures sondées, lesquelles assurent donc être, à cause de cela, en proie à des difficultés sonnantes et trébuchantes, notamment lorsqu’elles salarient des encadrants professionnels.
À noter que plus de la moitié des clubs ont repris toutes leurs activités tandis que 42 % ne l’ont pas encore fait, en particulier celles qui se déroulent en salle (activités gymniques et dansées, tai-chi…) et en piscine. Dans la même veine, quelques animateurs n’ont toujours pas renouvelé leur licence, et ne souhaitent pas le faire dans les conditions actuelles, par crainte d’être en contact avec d’autres personnes et/ou d’engager leur responsabilité ou parce qu’ils jugent les mesures sanitaires ainsi que les recommandations gouvernementales et fédérales trop contraignantes. D’où le fait qu’un tiers des clubs de la FFRS comptent moins d’animateurs dans leurs rangs.
Pour ce qui est des motifs de la non-réaffiliation de certains clubs, les entités répondantes invoquent l’interruption de leurs activités, que celle-ci soit réglementaire ou liée à la fermeture d’équipements sportifs dans certains territoires, le choix des dirigeants au regard de l’instabilité du contexte, les préconisations sanitaires trop astreignantes.
> Pour consulter l’enquête, cliquez ici.
Enquête réalisée du 30 septembre au 6 octobre2020
À noter que plus de la moitié des clubs ont repris toutes leurs activités tandis que 42 % ne l’ont pas encore fait, en particulier celles qui se déroulent en salle (activités gymniques et dansées, tai-chi…) et en piscine. Dans la même veine, quelques animateurs n’ont toujours pas renouvelé leur licence, et ne souhaitent pas le faire dans les conditions actuelles, par crainte d’être en contact avec d’autres personnes et/ou d’engager leur responsabilité ou parce qu’ils jugent les mesures sanitaires ainsi que les recommandations gouvernementales et fédérales trop contraignantes. D’où le fait qu’un tiers des clubs de la FFRS comptent moins d’animateurs dans leurs rangs.
Pour ce qui est des motifs de la non-réaffiliation de certains clubs, les entités répondantes invoquent l’interruption de leurs activités, que celle-ci soit réglementaire ou liée à la fermeture d’équipements sportifs dans certains territoires, le choix des dirigeants au regard de l’instabilité du contexte, les préconisations sanitaires trop astreignantes.
> Pour consulter l’enquête, cliquez ici.
Enquête réalisée du 30 septembre au 6 octobre2020
